Téhéran (IRNA)- Un événement pro-Palestine, en présence des diplomates des pays musulmans, a été organisé à Accra en vue de commémorer la journée de Qods et afin de condamner les crimes du régime sioniste à Gaza.
La conférence de la Journée internationale de Qods a été organisée au Ghana, à laquelle ont participé toutes les orientations islamiques, y compris les musulmans chiites, sunnites et soufis, et les dirigeants politiques ont tous élevé leur voix contre le massacre israélien à Gaza.
La cérémonie s'est déroulée dans le cadre d'un appel à la liberté de la Palestine, sur le thème « Arrêter le génocide, la discrimination raciale et la Palestine libre ».
Plusieurs diplomates des pays musulmans se sont exprimés leur de cette conférence internationale.
L'ambassadeur d'Iran au Ghana, Bijan Gerami, prononçant son message de solidarité lors de cette conférence à l'occasion de la Journée internationale d'Al-Qods, a expliqué la raison derrière la création de la Journée mondiale d'Al-Qods par l'Imam Khomeini en 1979.
L'ambassadeur de Palestine au Ghana, Abdul Fatah Alsattari, a rassuré que la Palestine serait bientôt libre. « En tant que peuple palestinien, nous nous sentons plus forts parce que nous sommes sur nos terres et que nous ne les quittons pas. S’ils ont les armes, nous sommes fermement convaincus que la Palestine sera libre un jour et que mon peuple restera sur cette terre et que certains des Palestiniens quittant l’extérieur rentreront chez eux un jour et que nous serons libres plus tôt. »
Mushin Ambiyayi, maître de conférences et académicien à l'Université islamique du Ghana, a parlé de l'injustice infligée à la population de Gaza.
L'ambassadeur adjoint d'Algérie, Atmane Boudjemia, a souligné le soutien indéfectible et continu de l'Algérie au peuple palestinien et a déclaré que « les sionistes veulent anéantir la Palestine, d'où le meurtre de femmes pour anéantir le pays », et a noté que l'Algérie avait commencé à soutenir la Palestine depuis 1988 et continuera d'apporter son soutien au peuple palestinien.
Le diplomate algérien appelle ensuite la communauté internationale à soutenir et à appeler à la fin du génocide. Il affirme qu'en Algérie, on ne reconnaît pas Israël comme un pays, mais comme un mouvement sioniste qui constitue une menace pour le monde.
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